Foire aux questions

Les données présentent à travers 3 chiffres le devenir des étudiants après un BTS, un BTS agricole, un certificat de spécialisation, une licence professionnelle, une licence générale, un master, un diplôme bac+5 de management ou d’ingénieur d’une école de management, d’une école d’ingénieur, d’une université ou d’un établissement assimilé.

Les 3 chiffres sont calculés sur l’ensemble des étudiants inscrits en dernière année de formation, qu’ils aient obtenu leur diplôme ou non.

La part en poursuite d’études : ce chiffre correspond à la part de jeunes toujours inscrits dans une formation en France l’année suivante. Ils peuvent :

• poursuivre leurs études à un niveau supérieur,
• s’être réorientés vers une autre formation de tout niveau,
• avoir redoublé leur année.

La part de jeunes en emploi salarié en France 6 mois après la fin de la formation. Quelques points sont à prendre en compte pour comprendre ce chiffre :

• tous les types de contrats sont pris en compte (CDI, CDD, intérim, contrats de professionnalisation, stages rémunérés, etc..) à l’exception des contrats d’apprentissage qui ne sont pas pris en compte car ils correspondent à une poursuite d’études,
• le métier exercé n’est pas forcément en relation avec le diplôme,
• les personnes qui seraient parties travailler à l’étranger ou qui auraient un statut d’indépendant ne sont pas comptabilisées.
   

La part de jeunes dans une “autre situation” : ce chiffre correspond à la part de jeunes qui ne sont ni en poursuite d’études ni en emploi salarié en France 6 mois après la sortie d’études. Ces jeunes peuvent être en création d’entreprise, en recherche d’emploi, en emploi indépendant (entrepreneur, en activité libérale, etc.), en formation ou en emploi à l’étranger (y compris VIE), ou bien inactifs après avoir terminé leurs études.

La loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel prévoit la publication d’indicateurs sur le parcours scolaire et l’insertion dans l’emploi des jeunes en formation professionnelle.

Alors qu’au préalable, les données n’offraient qu’une vue partielle du devenir des jeunes après une formation via des enquêtes, un nouveau procédé de recueil des données a été mis en place par les services statistiques de l'administration.

Le dispositif Inserjeunes permet de présenter le devenir des étudiants après une formation, notamment ceux toujours inscrits en formation et ceux en emploi dans les 6 mois suivants la sortie de formation. Ces données exhaustives apportent un degré de précision et de robustesse que ne pouvaient permettre des données issues d’enquête.

Vous trouverez plus d’informations sur le dispositif de calcul de ces indicateurs sur le site du ministère de l’Éducation nationale: www.education.gouv.fr/l-insertion-des-jeunes-apres-une-formation-en-voie-professionnelle-307956

Pour la session 2025, des données sur l’insertion seront proposées via la fiche formation (rubrique « poursuivre ses études et connaitre les débouchés ») pour les BTS, les certificats de spécialisation, les Licences générales et professionnelles, ainsi que les écoles de commerce, de mangement et d’ingénieurs.

Ces données présentées sur Parcoursup sont diffusées à l’échelle de la formation et de l’établissement. 
Si une formation forme moins de 20 étudiants dans un établissement, alors les indicateurs pour cet établissement ne sont pas diffusés car ils pourraient être trop volatiles d’une année sur l’autre et donc peu lisibles.

Les dispositifs InserJeunes et InserSup sont deux systèmes d’information permettant notamment le calcul et la diffusion d’indicateurs sur l’insertion professionnelle des sortants de l’enseignement secondaire ou supérieur. Ils mobilisent, pour la construction des indicateurs, des sources administratives de scolarité (liste d’inscription des jeunes) et d’emploi salarié en France (déclarations sociales nominatives réalisées par les employeurs) pour construire ces indicateurs.

InserJeunes et InserSup fournissent des indicateurs calculés sur un très grand nombre des étudiants et apprentis en France.

Ces deux dispositifs ont été créés à la suite de la loi du 5 septembre 2018 pour la liberté de choisir son avenir professionnel qui prévoit la publication d’indicateurs sur le parcours scolaire et l’insertion dans l’emploi, des jeunes en formation professionnelle.

Les deux dispositifs ont des méthodes de calcul des indicateurs très similaires et leur distinction reflète des suivis statistiques distincts selon la formation : InserJeunes calcule des indicateurs pour les formations de niveau CAP à BTS et InserSup pour les formations universitaires, en écoles d’ingénieurs ou de commerce.

Le site du ministère en charge de l’Education nationale présente les méthodes appliquées pour le calcul des indicateurs des formations de BTS, BTS agricoles, certificats de spécialisations ou formations en apprentissage jusqu’à niveau BTS.

Le site du ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche présente les méthodes appliquées pour le calcul des indicateurs des licences générales ou professionnelles, master, diplômes bac+5 de management ou d’ingénieur d’une école de management, d’une école d’ingénieur, d’une université ou d’un établissement assimilé.

Pour la session 2025, des données sur l’insertion sont proposées via la fiche formation (rubrique « poursuivre ses études et connaitre les débouchés ») pour les BTS, BTS agricoles, certificats de spécialisations, licences professionnelles, licences générales, masters, diplômes bac+5 de management ou d’ingénieur d’une école de management, d’une école d’ingénieur, d’une université ou d’un établissement assimilé.

Les indicateurs de rémunération représentent la rémunération nette mensuelle perçue sur le ou les poste(s) salarié(s) occupé(s), en France, 12 mois après sa sortie de formation par un ancien étudiant. Ces indicateurs sont calculés pour tous les étudiants ayant suivi cette formation en France et occupant un emploi salarié 12 mois après leur sortie de formation.

Trois indicateurs sont diffusés : 

• le premier quartile, soit la rémunération en dessous de laquelle se situent les 25 % des sortants en emploi salarié les moins bien rémunérés,
• le salaire médian, ou deuxième quartile, soit la rémunération en dessous de laquelle se situent la moitié des sortants en emploi salarié, 
• le troisième quartile, soit la rémunération au-dessus de laquelle se situent les 25 % des sortants en emploi salarié les mieux rémunérés.

Les salaires présentés sont indicatifs et nationaux lorsque la formation débouche sur un diplôme délivré par plusieurs établissements. Il existe une grande variabilité selon les territoires, l’obtention ou non du diplôme, les conditions de travail et les entreprises.
Les salaires présentés sont ceux des sortants de formation. Or, certaines formations (par exemple les licences générales) ont pour vocation la poursuite d’études (par exemple en master pour les licences). Les sortants en emploi peuvent être peu nombreux au regard des étudiants formés.

Les dispositifs InserJeunes et InserSup produisent plusieurs indicateurs relatifs au parcours des étudiants à la suite de leur formation. Ils mobilisent des sources administratives de scolarité (liste d’inscription des jeunes) et d’emploi salarié en France (déclarations sociales nominatives réalisées par les employeurs) pour construire ces indicateurs.

Les dispositifs InserJeunes et InserSup repèrent si les étudiants sortis de formation s’insèrent en emploi salarié en France 12 mois après leur formation. Les salaires correspondant aux postes occupés à ce moment-là sont calculés comme si ces anciens étudiants travaillaient à temps plein. Ce salaire inclut les primes et les indemnités, il est net des cotisations sociales, il est calculé avant prélèvement des impôts à la source.

Pour la session 2025, des données sur la rémunération après la sortie de formation sont proposées via la fiche formation (rubrique « poursuivre ses études et connaitre les débouchés »).

Les indicateurs de rémunération sont calculés pour les formations dont un nombre important d’étudiants s’orientent vers l’emploi salarié après leur formation. Les indicateurs de rémunérations ne sont pas calculés pour des formations conduisant par exemple principalement à de la poursuite d’études, à l’insertion dans l’emploi à l’international ou à de l’emploi indépendant.

Si moins de 20 étudiants sortent en emploi salarié d’une formation, les données ne sont pas présentées car elles pourraient être trop variables d’une année sur l’autre.

Le site du ministère en charge de l’Education nationale présente les méthodes appliquées pour le calcul des indicateurs des formations de BTS, BTS agricoles, certificats de spécialisations ou formations en apprentissage jusqu’à niveau BTS.

Le site du ministère chargé de l’enseignement supérieur et de la recherche présente les méthodes appliquées pour le calcul des indicateurs des licences générales ou professionnelles, masters, diplômes bac+5 de management ou d’ingénieur d’une école de management, d’une école d’ingénieur, d’une université ou d’un établissement assimilé.

La méthodologie utilisée pour calculer les indicateurs de rémunération est similaire, les deux liens mentionnés correspondent au ministère de rattachement de la formation.